Pourquoi faire de la photo macro en plongée ?

La photo macro est une discipline particulière de la photographie sous-marine. On aime ou on n’aime pas, mais on y est rarement indifférent. 
Elle permet de sublimer le monde du “tout petit” et de mettre en avant la beauté de créatures parfois presqu’invisibles à l’oeil nu.

De plus en plus de passionnés de photo s’y mettent en se disant que c’est certainement plus simple. 

Mais est-ce vraiment le cas ? 

Pour tout comprendre, vous y mettre et nous subjuguer de vos merveilleux clichés de plongée, je vous propose une plongée dans l’univers fascinant de la photo macro.

1. Comprendre la photo macro 

En photo macro, l’idée est de prendre des photos en gros plan, souvent de petits sujets, pour capturer des détails qui seraient autrement invisibles à l’œil nu. 

Cela peut être des nudibranches, des petits poissons, des crustacés, des mini méduses d’eau douce ou des détails sur les récifs.

Mais aussi parfois d’utiliser les techniques de la photo macro avec des sujets bien plus grands. C’est ce qu’avait fait le talentueux Steven Weinberg lorsqu’il a croisé son premier requin-baleine.

À partir de quand parle-t-on de photo macro ? 

On peut dire sans se tromper que la photo macro se définit lorsque l’on réalise des clichés où le sujet est reproduit à une échelle égale ou supérieure à 1:1 sur le capteur de l’appareil photo. 

Cela signifie que ce que vous allez photographier est capturé à sa taille réelle ou plus grande sur le capteur, permettant ainsi de mettre en évidence des détails extrêmement fins souvent invisibles à l’œil nu.

Dit plus simplement, on parle de photo macro quand on prend une photo d’un sujet qui apparaît aussi gros ou plus gros sur la photo qu’il ne l’est en réalité.

2. Équipement nécessaire

Comme pour tout, vous n’échapperez pas à l’investissement en matériel. 

Mais est-ce vraiment étonnant ? 

Un appareil adapté

Vous pouvez tout à fait commencer à faire de la photo macro avec un appareil compact, voir même avec votre smartphone embarqué dans ce type de caisson.

Le TG6 d’Olympus et les autres modèles de la gamme ont fait leur succès en plongée probablement grâce à leur capacité à saisir facilement les petits détails. 

De son côté, Canon à supprimé les fonctions macro sur ses compacts au profit d’un objectif capable de zoomer jusqu’à 4,2 fois. Mais en rendant la prise de vue peu stable selon moi.

Mais il est aussi possible de saisir la beauté de petits sujets avec un smartphone mis dans un caisson.

Si vous êtes équipés d’un appareil de type hybride ou reflex, il vous faudra investir dans un objectif macro capable de faire la mise au point rapprochée. 

Vous aurez le choix globalement entre trois types d’objectifs :

• Focales courtes (de 35mm à 60mm) : petits et légers, ces objectif macro permettent de se rapprocher de votre sujet et sont adaptés pour des sujets fixes (moins simple en plongée.) 
• Focales standards : (de 85mm à 105mm) : ce sont les plus polyvalents. Mais vous devrez vous placer un peu plus loin. Plus lourds et encombrants que les précédents, ils vous demanderont de rester bien stables là aussi. Notez qu’ils sont également plus chers que ceux à courte focale.
• Les longues focales (+ de 105mm) : ils ne sont pas utilisés en photo macro sous-marine en raison du risque important de flou. De plus ils sont vraiment plus encombrants. Pas certaine d’ailleurs qu’ils aient des caissons adaptés. Et vraiment plus chers aussi.

Les objectifs macros typiques en photo sous-marine ont des focales entre 60mm à 105mm. Retenez que plus le chiffre est grand, 105mm par exemple, plus il sera difficile d’avoir une image stable et le risque de flou augmentera. 

Un histoire de choix

Laissez de côté la tentation de prendre un objectif mixte comme par exemple un 18-105mm.

Ce type d’objectif risque à mon avis d’être un compromis qui ne sera jamais vraiment bon ni dans un sens ni dans l’autre. 

Il n’est pas simple de trouver l’objectif qui convient. Aussi, je pense que sous l’eau il faut pouvoir faire des choix et emporter soit un objectif pour la macro soit un grand angle selon la plongée annoncée. Ou deux appareils distincts (dans ce cas vous pouvez aussi avoir votre « binôme sherpa » sous-marin.

Nombreux sont les photographes qui aimeraient pourtant avoir les deux en même temps, car ils ont peur de passer à côté d’un cliché.

Pour cette raison, certains opteront pour des lentilles grossissantes à ajouter devant l’objectif en cours de plongée. 

En ce qui me concerne, je me dis qu’il y a toujours de belles choses à voir et à photographier, quel que soit notre choix.

Retrouvez ici toutes les infos sur mon matériel photo et vidéo.

Caisson étanche

Qui dit appareil dit également caisson. 

Pas de panique, pour la photo macro ou le grand angle, il ne faudra pas faire trop de changements. Vous pourrez utiliser des lentilles additionnelles qui peuvent augmenter le grossissement. 

Dans le cas d’un smartphone dans un caisson ou d’un appareil compact, vous pourrez y aller tranquille.

Pour les appareils hybrides ou reflex, il est possible qu’il soit nécessaire de changer de dôme et/ou de devoir utiliser une extension entre le caisson et le dôme. Parfois, cela peut couter quelques centaines d’euros. En polycarbonate, le dôme est plus léger et moins cher, mais gare aux griffes. J’en avais fait les frais lors de cette plongée exceptionnelle.

Flash et éclairage

Avec des petits modèles d’appareils ou un smartphone embarqué, vous pourrez vous satisfaire d’une bonne lampe photo/vidéo, d’une lampe annulaire ou d’un flash annulaire.

Pour les appareils photo hybrides ou reflex, des flashs externes devront être ajoutés pour fournir suffisamment de lumière et capturer les couleurs vives des sujets.

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Qu’est-ce qu’un snoot ?

Un snoot est un accessoire de photographie qui ressemble à un tube ou un cône. 

Il se fixe sur un flash pour diriger la lumière vers un petit endroit précis. 

En photo macro, le snoot permet de bien éclairer juste le sujet tout en gardant le fond sombre. Cela aide à mieux voir les petits détails du sujet sans que la lumière ne se disperse dans l’eau.

3. Techniques de Prise de Vue

Approche

Soyez patient et lent dans vos mouvements pour ne pas effrayer les petits sujets.
C’est une règle incontournable : évitez la précipitation. Elle stresse les animaux marins, risque d’abîmer les fonds et vous fera louper vos clichés. 

Stabilisation 

La photo macro exige une grande stabilité. En effet, chaque mouvement risque de rendre votre photo floue.

Pour pallier le manque de lumière des photos macro, vous devrez sans doute mettre une vitesse d’obturation plus petite. C’est-à-dire que le capteur de votre appareil photo sera illuminé plus longtemps pour saisir l’image. Et donc, vous devrez rester immobile plus longtemps. C’est toute la difficulté évidemment.

Il est inconcevable de détruire l’environnement sous-marin pour un cliché qui sera peut-être raté ou dont vous ne ferez rien. Et même pour une belle photo, cela en vaut-il la peine ?

Je ne peux que vous encourager à suivre une formation de plongée rigoureuse pour maîtriser et votre équilibre et votre flottabilité (non, ce n’est pas pareil).

De cette manière vous ne serez pas tenté de vous accrocher n’importe où, voire de vous vautrer carrément sur les fonds (vu, revu, et re-revu 1000 fois 😳)

Composition

Concentrez-vous sur les règles de base et laissez aussi jouer votre imagination.

Patientez pour que la créature se positionne idéalement.

Pendant ce temps-là, observez le décor environnant et réfléchissez à votre composition : votre sujet ressort-il suffisamment dans l’image ? Quels sont les éléments derrière, devant ou sur les côtés qui peuvent alourdir votre image ? … 
Posez-vous la question de savoir « qu’est-ce que je veux vraiment mettre en évidence ? Où est mon sujet ? »

Si vous avez des difficultés, suivez cette mini formation en ligne. À la fin, vous serez bluffé par vos propres capacités. Oui, vous pouvez arriver facilement à faire des photos dont vous allez être fier !

Lumière

Bien entendu, comme dans toutes pratiques de photo sous-marine, vous devrez être attentif à la lumière. Ici, pas de lumière naturelle (sauf dans les premiers mètres). 

De même, pour augmenter les chances que votre photo soit nette, vous allez choisir une ouverture du diaphragme plutôt petite (donc un « f » grand, je sais, ce n’est pas logique)

Aussi, vous allez probablement devoir jouer avec des flashs (deux de préférence pour éviter les zones d’ombres) ou des lampes photos (oui, ça marche aussi), voire un snoot (expliqué plus haut).

Notez que dans la photo sous-marine en mode macro tous les détails et les ombres vont être grossis. 

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Quels sont les meilleurs réglages pour des photos macro réussies en plongée

Je vais tout de suite vous décevoir, mais il n’y a pas de recettes miracles.

Par contre, il y a tout de même des éléments de base à connaître.

• Ouverture : il sera préférable d’utiliser une ouverture plus petite. Cela permet d’augmenter la profondeur de champ, c’est-à-dire la zone de netteté de l’image. Un bon réglage peut être entre f/8 et f/11 pour les petits objets. À tester.

• Vitesse d’obturation : pour éviter les flous de mouvement très présent dans l’eau, il vous faudra augmenter la vitesse. Et donc laisser moins longtemps ouvert. Des vitesses comme 1/250e de seconde pourront vous aider à avoir des images nettes.

• ISO : Augmenter la sensibilité ISO permet de compenser le manque de lumière dû à une petite ouverture ou à une vitesse d’obturation élevée. Mais vous devrez être attentif au bruit que cela peut donner à vos photos. Une ISO autour de 400 peut être un bon compromis entre luminosité et qualité d’image. Qu’en pensez-vous ?

Évidemment, vous devrez faire des essais et erreurs. Aussi, votre environnement va jouer sur vos réglages. Faire de la photo macro dans un lagon azur à 1m de profondeur ne sera pas pareil que de pratiquer la photo macro en carrière sombre en hiver.

Est-ce plus simple de faire de la photo macro ? 

Oui parce qu’on choisit souvent des sujets assez immobiles et qu’il est assez simple de gérer la lumière. 

Non, parce qu’il faut arriver à trouver les petits sujets et que dès que vous allez grossir votre angle, tout mouvement risque de rendre votre photo floue. Il faut donc pouvoir bien gérer sa flottabilité, mais aussi son équilibre

4. Post-traitement

Une fois la photo prise, un dernier travail super utile vous permettra de sublimer vos photos. C’est évidemment le post-traitement. Utilisez des programmes simples qui font tout pour vous ou lancez-vous dans l’exploration de programme comme Ligthroom, incontournable pour pouvoir travailler vos photos en profondeur.

• Retouches de base : Ajustez l’exposition, le contraste, et la saturation pour améliorer vos images sans les rendre non naturelles.
• Nettoyage : Éliminez les particules en suspension (ou les rayures sur le caisson) qui peuvent apparaître sur l’image.
• Affinement des détails : Utilisez des outils comme la netteté pour mettre en valeur les petits détails.

Ça peut paraitre compliqué, mais en réalité c’est assez simple.
Je vous explique tout cela de manière simple dans cette mini formation en ligne.

5. Pratique et Éthique

La photo macro requiert beaucoup de pratique pour maîtriser à la fois les techniques de plongée et de photographie.

De toute façon, il ne faut pas perturber les habitats marins et les créatures. Interdisez vous de toucher ou de déplacer les sujets pour obtenir une meilleure image. C’est vous qui devez faire l’effort. 

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N’oubliez pas que, qui dit objectif macro dit obligation de pouvoir vous rapprocher de votre sujet. 

Veillez à le faire de manière respectueuse et apprenez à RENONCER à un cliché s’il risque de faire des dégâts.

Dans la mini formation Réussir Vos Photos Sous-Marines Sans Rien Connaître En Technique, j’explique le concept de « devenir poisson ». 

6. Doit-on toutes et tous faire de la photo macro ?

Eh bien non. 

Pour ma part, et même si je trouve les clichés des photographes de talents magnifiques, les photos macro ne sont pas ce que je préfère. J’aime vraiment beaucoup les photos de type grand angle qui me plongent dans un décor, un moment et me font ressentir de l’émotion.

Il m’arrive bien de faire l’un ou l’autre cliché rapproché, mais me focaliser sur des tout petits détails ou créatures n’a pas ma préférence.

Peut-être changerais-je d’avis un jour.

Toujours est-il que je pense que c’est une question de goût. Et nombreux sont celles et ceux qui se dirigent vers cette spécialité. Par passion pour le monde macro ou par croyance que ce sera plus simple à photographier. (Alert Spoil : ce n’est pas plus simple 😉)

Des questions et des réponses sur la photo macro en plongée

Qu’est-ce qu’un objectif photo pour la macro ?

L’objectif photo macro est un objectif dont la distance de mise au point est minimale et qui a une distance focale courte (pour pouvoir se rapprocher au max des sujets photographiés)

Pourquoi mes photos macros sont floues ? 

Ce n’est pas anormal surtout au début. 

Il peut globalement y avoir trois raisons aux photos floues dans la pratique de la photo macro.

Le flou de bougé du sujet et le flou de vos mouvements sont les deux premières. 

À moins d’avoir un sujet ultra fixe et votre propre corps absolument immobile, vous allez avoir ces risques. 
Vous pouvez résoudre ces deux risques de flous en choisissant un sujet fixe, en ne bougeant absolument pas ou en augmentant la vitesse d’obturation. Les solutions sont finalement assez simples, mais demandent un peu d’entraînement.

Surtout, ne soyez pas tenté de vous écraser sur les fonds fragiles ou de vous accrocher aux roches. Pour ne rien abîmer et si vous avez des problèmes de flottabilité, vous pouvez éventuellement emporter un trépied à caler délicatement. 

La troisième raison des photos macros floues est le flou de mise au point. 

Sans vous en rendre compte, la mise au point ici est faite sur autre chose que votre sujet (pas toujours facile à régler à travers votre caisson). Vous savez que c’est de ce flou qu’il s’agit, car votre photo à une zone nette… mais pas à l’endroit voulu. Dommage.

Pour résoudre ce problème en plongée, vous pouvez utiliser deux techniques :

• Mise au point « va-et-vient » : faites une première mise au point (pour avoir la taille voulue de votre sujet). Ensuite, déplacez-vous d’avant en arrière lentement jusqu’à avoir votre point de netteté. Et là, clic, déclenchez.
• Focus peaking : avec un hybride (ou reflex pas trop vieux), vous pourrez activer cette fonction et voir apparaître les zones nettes de votre future image matérialisées par des lignes en surbrillance. Vous ne trouvez pas la fonction ? Chez Canon elle se nomme « paramètres de repères MF ». Et chez Nikon « mise en relief de la mise au point ». Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué 😉

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Quel est le meilleur appareil photo pour faire de la photo macro en plongée ? 

Je suis vraiment désolée, mais je n’ai pas la réponse à cette question. 

Il y a tellement de facteurs qui entrent en compte pour le choix. 
Bien sûr le budget, votre aisance, vos connaissances, vos préférences vis-à-vis d’une marque ou l’autre…

L’appareil compact TG6 / TG7 a longtemps été le meilleur choix pour les personnes voulant faire des photos sous-marines facilement. J’ai écrit un article ici vous disant Les Raisons Qui Vous Le Font Aimer (Et Pourquoi je l’ai Revendu). 

Pour les appareils hybrides qui ont tout doucement remplacé les reflex, le choix est encore plus compliqué. Certains Sony ont la côte aujourd’hui. Canon et Nikon ont toujours leurs adeptes. 

Bref, vous allez devoir faire votre propre choix.

À moins que vous ne restiez sur un accessoire de départ : votre smartphone.

iPhone, Samsung… comment prendre des photos macro sous l’eau avec mon smartphone ?

Aujourd’hui, il est tout à fait possible, simple et réaliste d’emporter avec soi son smartphone sous l’eau et de réaliser de très beaux clichés.
Avec les caissons étanches, vous allez même pouvoir mettre des lentilles de grossissement. 
Bien sûr, les photos ne seront pas parfaites, mais tout de même très sympas.

Peut-on faire de la photo macro avec un grand angle ?

Même si ce n’est pas la configuration idéale, il est tout à fait possible de jouer avec un objectif grand angle pour réaliser des photos macros et mêler macro et ambiance plus large. Le problème va plutôt être de pouvoir se rapprocher un maximum de votre sujet.
Mais cela donne des clichés assez sympathiques comme celui ci-dessous.

Moi j’adore faire ça. Et vous ?

Où faire de la photo macro ?

Partout. 

Commencez par regarder sur les tombants, les roches… Pour trouver la petite bête ou le détail à mettre en avant, vous pouvez commencer par explorer une petite zone. Les plongées où vous palmez sans cesse ne seront pas propices. 

Vous allez devoir prendre le temps et laisser votre regard s’aiguiser pour trouver le tout petit.

Lors de mon voyage à Raja Ampat, je n’ai pas réussi à trouver un seul hippocampe pygmée sans aide. Parce que mon œil n’était pas habitué. 

Soyez patient avec vous-même. Ce n’est pas grave si au début, votre guide doit vous montrer les choses.

Photo @ Pascal Van de Vendel

Quelles compétences avoir pour faire de la photo macro ? 

Ce qui me vient en premier à l’esprit est ceci :

• Patience 
• Connaissance en plongée bio pour savoir où chercher et comment approcher vos sujets.
• Ténacité parce qu’il va vous falloir pas mal d’échecs avant de réussir vos photos macros comme les pros. Mais l’échec en plongée est aussi une chance, n’est-ce pas ?

Comment progresser en photo macro sous-marine ? 

Le meilleur conseil à mon avis est de commencer sur des sujets pas trop petits et plutôt fixes ou qui ne bougent pas trop. L’étoile de mer et les coraux sont de bons sujets de départ. 

Sauf pour ce type d’étoile 😁

En résumé

En suivant ces étapes, vous serez bien équipé pour explorer et capturer le monde étonnant de la photo macro. 

Évidemment, cela nécessite non seulement un bon équipement et des techniques solides, mais aussi une grande sensibilité envers les environnements délicats dans lesquels vous plongez.

Avant de vous acharner sur un animal marin, gardez toujours à l’esprit que la grande majorité de vos clichés ne serviront jamais à rien. Et que si vous avez 10 photos sur 100 qui sont vraiment belles, vous pouvez être content. 

Alors parfois, mieux vaut juste regarder et se faire des souvenirs que de tenter à tout prix de faire son cliché.

Photo macro en plongée : êtes-vous plutôt fan ou totalement indifférent ? 

Dites-moi cela en commentaire de ce post. 

Et surtout… n’oubliez pas d’être heureux/heureuse 😊

Hélène

La couverture de cet article et l’hippocampe pygmée sont des photos de Pascal van de Vendel sur Unsplash